Archives de catégorie : Communications

La Municipalité à majorité de gauche impose des écopoints sans plastique et sans papier-carton !

UDC Ecopoints Epalinges

Selon l’UDC palinzarde, la mesure prise par la Municipalité s’inscrivait clairement «contre le bon sens» du tri des déchets et handicapait les personnes non motorisées. «Les seniors et les jeunes sont les premiers touchés, sans oublier les habitants qui travaillent pendant les heures d’ouverture de la déchetterie. C’est un mauvais exemple donné à la jeunesse.» L’UDC déplorait également une hausse d’impôts déguisée, estimant que la décision municipale conduirait à une augmentation des frais en sacs surtaxés pour les Palinzards. «La gauche au pouvoir a donc décidé de supprimer une prestation acquise, mais sans réduire la taxe annuelle pour autant.»

Reste que les chiffres avancés par les autorités sont parlants: à Epalinges, le coût à la tonne de la collecte des conteneurs papier semi-enterrés est environ quatre fois plus élevé que celui de la collecte au porte-à-porte, valorisation comprise. Sans oublier la qualité que doit avoir ce vieux papier. «Son tri doit être rigoureux si l’on veut obtenir des repreneurs le meilleur prix», assure la Municipalité. Une rigueur qui serait plus facile à exiger en déchetterie, sous l’œil vigilant des responsables, qu’aux écopoints non surveillés.

Lors du prochain Conseil communal de septembre, la Municipalité appellera donc les élus à approuver sa décision de ne pas réimplanter les conteneurs de collecte du papier et du carton, comme ceux des plastiques souples, dans les écopoints.

Source: 24 Heures – 15.09.2017

Pour des commissions d’enquête parlementaire au niveau communal – article paru dans la Nation

Article paru dans la Nation N° 2077 suite à notre motion au Conseil communal

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Pour des commissions d’enquête parlementaire au niveau communal

Sur le plan fédéral, une commission d’enquête parlementaire (CEP) est instituée pour faire la lumière sur des événements d’une grande portée : affaire Kopp, affaire des Mirages, affaire des fiches, etc. La CEP s’inscrit dans les tâches de haute surveillance exercées selon la Constitution par l’Assemblée fédérale sur les organes fédéraux. Le canton de Vaud connaît également la CEP. Elle avait par exemple été utilisée dans l’affaire de la BCV. Notre canton ne connaît toutefois pas l’enquête parlementaire communale. Les dysfonctionnements récents survenus à Aigle[1] et Epalinges[2] montrent pourtant l’importance de pouvoir exercer une surveillance au niveau communal également.

Dans un arrêt du 8 octobre 2008 (arrêt CCST.2008.0003), la Cour constitutionnelle du Tribunal cantonal a admis une requête de la Municipalité de Lausanne et annulé une disposition du règlement du conseil communal prévoyant la possibilité de constituer des commissions d’enquête. Elle a considéré l’instauration de telles commissions comme contraire à la séparation des pouvoirs. Faute de base constitutionnelle ou légale cantonale plus large, le conseil communal ne peut intervenir de manière investigatrice dans les affaires relevant de la compétence de la municipalité.

La commission de gestion n’a pas le droit d’investiguer d’une manière aussi étendue que les commissions de surveillance du Grand conseil. Ses compétences sont peu étendues et ses conclusions ne sont pas contraignantes. Elle n’a pas non plus la possibilité de mandater un cabinet d’audit indépendant pour identifier l’origine et les responsables de dysfonctionnements. Notre canton est donc restrictif en ce qui concerne les compétences données aux conseillers communaux (ou généraux) pour veiller à la bonne gestion de leur commune.

Actuellement, la seule possibilité d’agir est de recourir au Préfet. Cette insuffisance est clairement une lacune de la loi vaudoise sur les communes (LC). Il conviendrait donc de modifier la LC pour permettre des CEP communales en s’inspirant des pratiques existantes au niveau fédéral et dans d’autres cantons. Dans le canton de Zurich, il est possible de faire une enquête préliminaire, puis ensuite de procéder à une enquête de fond. Dans le canton de Lucerne, on doit demander des informations via une interpellation, puis créer la CEP avec une motion.

Il ne s’agirait évidemment pas de contraindre les communes vaudoises de prévoir la CEP. La LC devrait au moins permette aux communes qui le souhaitent de se doter d’une CEP sur une base volontaire. Mme Cesla Amarelle a déposé une motion au Grand conseil en 2008 (motion 08_MOT_038) allant dans ce sens. Dans sa réponse, le Grand Conseil a estimé que l’autorité de surveillance des communes est en premier lieu une prérogative du Canton, et que la commune ne peut être pourvue que de manière limitée d’un pouvoir d’auto-surveillance. Au contraire, doter les communes d’une autorité de surveillance aux pouvoirs élargis confirmerait l’autonomie dont elles sont censées être les bénéficiaires. Elles règleraient certains problèmes à leur niveau, sans devoir faire appel à la lourde administration cantonale. Dans cette motion, Mme Amarelle avançait par ailleurs un argument avec lequel on peut (pour une fois…) être d’accord : « [… ] l’enquête parlementaire est un moyen de recréer l’unité politique en période de crise institutionnelle ». Les constitutionnalistes parlent d’un « effet intégrateur de l’enquête ».[3]

Le Tribunal fédéral (TF) a ordonné le 17 juillet 2017 (arrêt 1C_155/2017) à la commune de Steinhausen (ZG) de donner accès à l’ensemble des procès-verbaux de l’exécutif communal. Cette jurisprudence devrait dorénavant fixer un cadre clair pour l’ensemble des exécutifs communaux suisses. Elle stipule que c’est l’ensemble de la documentation des actions d’un exécutif qui doit être disponible, et plus seulement des documents de manière isolée. Cette transparence imposée par le haut n’est pas idéale, mais elle a le mérite d’élargir indirectement la surveillance sur nos exécutifs communaux. Une CEP communale pourrait permettre d’établir cette transparence par le bas en respectant l’autonomie communale et sans attendre des décisions contraignantes du TF.

Dans les communes, la représentation des intérêts passe avant tout par le Conseil communal. Sa proximité avec le tissu socio-économique ou associatif local est plus grande qu’au niveau cantonal. L’hétérogénéité culturelle grandissante de nos villages contribue à augmenter les soupçons de copinage et d’autres manœuvres intéressées à propos des anciens habitants, souvent membres des municipalités. A ce titre, donner aux législatifs communaux la possibilité de se doter d’un pouvoir de surveillance contraignant n’a rien d’extravagant. Socle du pouvoir communal et adapté aux circonstances locales, l’autonomie communale en sortirait renforcée. Il en irait de la confiance envers le niveau politique le plus proche des citoyens.

[1] Dans son édition du 3 juillet, 24heures nous apprend que la municipalité d’Aigle a décidé d’interrompre pour quatre mois le mandat du municipal de la Police. Celui-ci est visé par une enquête pénale pour infractions économiques.

[2] Dans son édition du 29 juin, le Régional nous apprend que l’administration communale d’Epalinges connaît des dysfonctionnements récurrents, notamment au niveau de la gestion du personnel. La Commission de gestion et l’UDC, appuyée par le PLR, réclament un audit indépendant. Malgré cela, il est manifestement impossible pour un conseil communal d’imposer un audit ou une enquête parlementaire à une municipalité qui gouverne mal mais se défend bien.

[3] Cf. E. Baruh : « Les commissions d’enquête parlementaires. Cadre juridique d’une procédure politique ». Etude de droit suisse fédéral et cantonal, Lausanne 2007.

La motion de l’UDC Epalinges dans Le Régional. Pluie de démissions à Epalinges : la Commission de gestion et l’UDC réclament un audit

MOTION DU GROUPE UDC DEMANDANT LA CREATION D’UNE COMMISSION CHARGÉE D’IDENTIFIER L’ORIGINE DES DYSFONCTIONNEMENTS RECURRENTS AU SEIN DE L’ADMINISTRATION COMMUNALE

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Pluie de démissions à Epalinges : la Commission de gestion et l’UDC réclament un audit.

Depresssion

Au moins cinq employés ont donné leur démission ces deux dernières années, tandis que le syndic vient d’annoncer la suspension du secrétaire municipal. En cause, les relations entre l’exécutif et le personnel communal, qui seraient tendues. La Commission de gestion et l’UDC réclament un audit.

Depuis quelques mois, la révolte gronde au sein de l’administration et les départs se multiplient. Parfois pour des personnes en poste depuis des décennies. «Une situation qui péjore le travail administratif de la Commune», ont fait remarquer plusieurs élus au Conseil communal du 20 juin. Au point que la Commission de gestion (Cogest) a lu à l’assemblée un post scriptum à son rapport, dans lequel il rappelait cette question à la Municipalité: «Y a-t-il une évaluation de la satisfaction du personnel, indépendante de la hiérarchie, à l’instar de Pully?» A quoi le syndic Maurice Mischler a répondu: «Non, en tout cas pas maintenant». La même commission a pris note de l’absence d’entretien systématique d’évaluation pour tout le personnel communal et l’absence d’enquête de satisfaction auprès des collaborateurs de la Commune. Selon son président, Anton Epp, des membres de la Cogest ont été informés que «les employés craindraient des sanctions sévères s’ils émettaient des observations plus loin qu’à leur supérieur hiérarchique direct et, en particulier, aux membres de la Cogest et également aux municipaux». Anton Epp conclut son post scriptum ainsi: «Pour la protection des employés, la commission de gestion ne peut et ne veut pas concrétiser ces faits, mais elle a la conviction qu’il serait bien de mandater rapidement un organisme externe pour mener une enquête de satisfaction indépendante afin de lever tout doute à ce sujet». Il s’agit d’une recommandation à laquelle la Municipalité pourra ou non donner suite.

Demande d’audit

Manifestement bien renseigné sur ces troubles internes, le groupe UDC est allé plus loin. Dans un premier temps, il s’est adressé à la préfecture qui n’a pas souhaité s’ingérer dans les affaires internes de la commune. S’appuyant alors sur le devoir de surveillance du Conseil communal face à l’exécutif, le groupe a déposé le 20 juin une motion demandant «La création d’une commission chargée d’identifier l’origine des dysfonctionnements récurrents au sein de l’administration communale». Le groupe demande que soit «mandaté un cabinet d’audit indépendant pour identifier l’origine et les responsables de ces dysfonctionnements». Mais aussi de «déterminer la raison pour laquelle des informations sur la rotation du personnel n’ont pas été communiquées au Conseil communal et formuler des recommandations de changement de pratiques». L’élu UDC détaille ces dysfonctionnements: «Préavis incomplets, paragraphes manquants, délais non respectés, importants retards dans l’impression des cartes de la déchetterie, etc.» Quant au personnel, l’UDC relève: «Plus de cinq employés ont donné leur démission ces deux dernières années, emportant avec eux des dizaines d’années d’expérience». Et d’ajouter: «La récente suspension du secrétaire municipal, en poste depuis 1992, vient encore aggraver cette perte en ressources humaines indispensables au bon fonctionnement de notre Commune».

Que se passe-t-il réellement?

Selon divers témoignages recueillis, «dénigrements, manque de considération, promesses non tenues, employés poussés vers la sortie, font partie des doléances des démissionnaires. Ils se plaignent de n’être pas écoutés, soumis à l’omerta, mal traités, jamais objet d’évaluations.» En résumé, une ambiance délétère et des employés «désespérés» pour certains. Sans entrer dans les détails qui désigneraient les personnes, beaucoup se plaignent de «l’élitisme» du syndic, responsable du personnel, qui «n’a pas une grande compréhension des petites gens et ne salue même pas son personnel lorsqu’il arrive». On lui reproche de porter trop de casquettes – syndic, un poste à 60% à Epalinges, enseignant au gymnase de Beaulieu, un emploi à 45,45% selon les ressources humaines de l’établissement, président du groupe des Verts Epalinges, futur député au Grand conseil et ex-candidat au Conseil national – de ne pas avoir de temps pour s’occuper de son personnel qui se sent «sacrifié à ses ambitions». Décrié pour «son manque de collégialité», le plus gros reproche qui lui est fait est «de ne jamais entrer en matière et de trop pratiquer les pirouettes».

Le syndic conteste les critiques

Contacté par Le Régional avec des questions précises sur les reproches qui lui sont adressés par les démissionnaires et les conseillers communaux, le syndic Maurice Mischler répond au nom de la Municipalité: «La Municipalité accuse réception de votre courriel du 22 juin 2017 et conteste les accusations que vous reportez à son égard. Cela dit, la Municipalité vous transmet ce qui a été communiqué lors de la séance du conseil communal du 20 juin 2017 (séance à laquelle vous étiez présente), à savoir qu’elle a été contrainte de suspendre à titre provisoire son secrétaire municipal de ses fonctions, avec maintien de son salaire, à raison d’éléments qui ont été récemment découverts et qui font à l’heure actuelle l’objet d’investigations. Dès lors que la Municipalité se doit de respecter strictement son obligation de protéger la personnalité de son secrétaire et qu’elle entend s’assurer que le droit d’être entendu de ce dernier ne soit pas perturbé d’une quelconque manière, il n’est pas possible de vous transmettre de plus amples détails à ce stade. Par ailleurs nous ignorons sur quelles bases sont fondées vos différentes allégations». Aucune réponse non plus de la part du syndic, malgré une relance du Régional, sur la motion UDC et la recommandation de la Commission de gestion, toutes deux réclamant un audit indépendant sur les reproches de dysfonctionnements.

Le Régional

MOTION DU GROUPE UDC DEMANDANT LA CREATION D’UNE COMMISSION CHARGÉE D’IDENTIFIER L’ORIGINE DES DYSFONCTIONNEMENTS RECURRENTS AU SEIN DE L’ADMINISTRATION COMMUNALE

Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,

Depuis maintenant plusieurs mois, nous constatons des défaillances récurrentes au sein de l’administration communale : préavis incomplets, paragraphes manquants, délais non respectés, importants retards dans l’impression des cartes de la déchèterie, etc. Voilà seulement quelques exemples auxquels nous avons tous été confrontés. Le groupe PLR, soutenu par le groupe UDC, a déposé précédemment trois interpellations pour attirer l’attention sur ces dysfonctionnements. Sans succès, malheureusement.

Ces dernières semaines encore plusieurs préavis ont été rendu en retard, contrevenant ainsi au règlement (art. 35a) de notre Conseil qui garanti aux Conseillères et Conseillers de recevoir les documents quatre semaines avant la séance du Conseil communal. Certaines commissions ont même reçu leurs documents seulement quelques heures avant de siéger.

Ces dysfonctionnements administratifs s’ajoutent à un autre problème inquiétant : le taux de rotation du personnel communal est largement supérieur à la moyenne constatée dans d’autres communes comme Pully ou le Mont-sur-Lausanne. Plus de cinq employés ont donné leur démission ces deux dernières années, emportant avec eux des dizaines d’années d’expériences. La récente suspension du secrétaire Municipal, en poste depuis 1992, vient encore aggraver cette perte en ressources humaines pourtant indispensable au bon fonctionnement de notre commune. Le groupe UDC déplore cette situation et souhaite rétablir des conditions de travail attractives pour les employés communaux. Ces dysfonctionnements ont également été relevé par la Commission de gestion dans son rapport 2016. Je cite :

  • à la page 3 : « La gestion du personnel semble être un point faible de la gestion municipale. »
  • à la page 49 : « …un certain malaise traverse une partie du personnel communal. »
  • à la page 51 : « nous avons reçu le 15 mai, avec 2 mois de retard sur le planning initial, le rapport de gestion 2016 de la Municipalité. » « Malheureusement, la Commission de gestion n’a pas pu examiner et apprécier de manière complète le Rapport de gestion 2016 de la Municipalité. »

Mesdames et Messieurs les Conseillères et Conseillers, la proposition qui vous est faite ce soir vise à faire toute la lumière sur ces dysfonctionnements récurrents. Ces problèmes doivent impérativement être résolus afin de garantir le bon fonctionnement de notre commune. C’est pourquoi je vous demande de bien vouloir considérer :

  • L’article 40f de la loi sur les communes
  • L’article 50 du règlement du Conseil communal
  • Les éléments évoqués précédemment

Et de charger le bureau du Conseil communal de nommer une commission d’enquête parlementaire pour:

D’une part, suivre les recommendations formulées par la Commission de gestion:

  • mandater un organisme externe indépendant pour mener une enquête de satisfaction auprès du personnel communal ;
  • effectuer systématiquement des évaluations pour tout le personnel communal ;

et d’autre part pour:

  • mandater un cabinet d’audit indépendant pour identifier l’origine et les responsables de ces dysfonctionnements ;
  • identifier les raisons du taux de rotation anormal du personnel communal;
  • analyser la pertinence d’engager un responsable du personnel communal ;
  • déterminer la raison pour laquelle des informations sur la rotation du personnel n’ont pas été communiquées au Conseil communal ;
  • formuler des recommandations de changement de pratiques.

Mesdames et Messieurs, nous avons tous besoin d’une administration fonctionnelle pour remplir notre mandat politique. Il est de notre devoir de rétablir des conditions de travail attractives pour les collaborateurs de la Commune. Pour toutes ces raisons, je vous prie de bien vouloir soutenir cette motion.

Votez et faites voter Jacques Nicolet et Isabelle Chevalley le 21 mai !

Jacques Nicolet et Isabelle Chevalley aux Croisettes à la rencontre de la population palinzarde.

Pour la première fois à Epalinges, l’UDC dispose d’un affichage géant SGA aux Croisettes.

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Malheureusement, nos affiches ont été vandalisées à plusieurs reprises par des adversaires qui n’ont aucun respect pour la démocratie. Nous avons pourtant scrupuleusement respecté les consignes pour un affichage politique respectueux de la sécurité routière.

Heureusement la motivation sans faille de nos militants a permis de quadriller le sous-arrondissement, afin d’assurer à notre parti une visibilité maximale dans cette période cruciale pour l’avenir du Canton de Vaud.

La Municipalité refuse des écopoints complets et pratiques

Nous apprenons aujourd’hui 17 mars 2017 par un article de 24heures (copie ci-dessous) que la Municipalité d’Epalinges ne compte pas revenir sur sa décision concernant la catastrophique reconfiguration des écopoints.

Sur la forme, il est absolument inacceptable que la Municipalité communique sa réponse  à notre postulat par voie de presse, sans en informer le Conseil communal au préalable. La prochaine séance aura lieu le 4 avril 2017.

Sur le fond, l’article de 24heures ne révèle que la pointe de l’iceberg. Malheureusement, ce type de décharge sauvage vont se multiplier à l’avenir. Depuis décembre 2016, l’UDC est le seul parti à inlassablement dénoncer l’incohérence de la Municipalité en matière de gestion des déchets.

Il est piquant de constater que le syndic Maurice Mischler (les Verts) convient que « Ce n’est pas un très bel exemple », reprenant notre argumentation en faveur des écopoints complets, mentionné notamment dans notre communiqué de presse du 30 janvier 2017.
Communiqué au format pdf

Nous ne baisserons pas les bras et l’UDC continuera son combat pour que la population palinzarde obtienne enfin des écopoints complets et pratiques ! Affaire à suivre, donc…

http://www.24heures.ch/vaud-regions/lausanne-region/decharge-sauvage-tache/story/18071005

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Le mécontentement contre la Municipalité grandit au sein de la population.